Bonjour mes lecteurs!
I apologize, but my last thoughts about being in France I wrote in FRENCH! Ah!Desolée as they say, except this is definitely a good sign, since I spent almost four months there and if I came out with nuttin’ that would suck. Anyway, below is the original and soon I will post something that encompasses les deux: what I’ve written here plus more thoughts since I’ve been home.
–
Pendant tout mon voyage en France, je pensais que Noël et mon retour aux États-Unis étaient très loin au futur. Mais maintenant, que les deux sont arrivés, je ne sais pas à quoi penser. En même temps, je suis contente de revenir, mais triste de partir. Margaux a dit que le mot est doux-amer. C’est vrai, elle est vraie comme toujours. La société nous dit qu’il faut avoir un sentiment spécifique, mais j’en ai plusieurs !
Soulagée que les examens sont finis. Joyeuse de voir ma famille. Triste que je laisse mes nouveaux amis, en particulaire Cathy et James. J’ai la nostalgie pour les moments à IAU avec les autres étudiants. Je regrette que je n’aie pas profité autant que possible au début du semestre. Je suis fière du travail que j’ai fait à l’école. Fatiguée de voyager toute la journée.
Depuis septembre quand je suis montée dans l’avion pour aller en France, j’ai voyagé beaucoup. J’avais été dans beaucoup d’avions. Donc maintenant, ça semble pareil. Mais ce n’est pas pareil. Après ce voyage, je vais rester en place et c’est un endroit que je connais très bien.
Comment-on décrire comment j’ai changée ? C’est presque impossible mais j’essaye.
Je crois que, sans doute, j’aie une meilleure compréhension de la langue française. En parlant, en écrivant, en livrant, en tous. Mais hors des prix scolaires, j’ai un meilleur sens de moi-même. Depuis l’été j’ai découvert ce dont j’ai besoin pour vivre en autonomie et cette expérience m’a enseigné plus.
Aix serai toujours une ville où j’habitais, où j’assistais à l’école, et où je faisais les choses que je ne ferai jamais encore. C’est une partie de moi et mon histoire. C’était doux-amer de partir parce que je quitte cet endroit où j’ai reçu et laissé des parties de mon esprit. Mais c’est nécessaire. Si je ne quittais pas, je ne grandirai pas. Il y a une citation qui le dire mieux, mais je ne peux pas l’en penser maintenant…
Donc, au revoir Aix. Et je veux dire au revoir parce que je retournerai ! Et je te revoir un jour. Je le sais.
I apologize, but my last thoughts about being in France I wrote in FRENCH! Ah!Desolée as they say, except this is definitely a good sign, since I spent almost four months there and if I came out with nuttin’ that would suck. Anyway, below is the original and soon I will post something that encompasses les deux: what I’ve written here plus more thoughts since I’ve been home.
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Pendant tout mon voyage en France, je pensais que Noël et mon retour aux États-Unis étaient très loin au futur. Mais maintenant, que les deux sont arrivés, je ne sais pas à quoi penser. En même temps, je suis contente de revenir, mais triste de partir. Margaux a dit que le mot est doux-amer. C’est vrai, elle est vraie comme toujours. La société nous dit qu’il faut avoir un sentiment spécifique, mais j’en ai plusieurs !
Soulagée que les examens sont finis. Joyeuse de voir ma famille. Triste que je laisse mes nouveaux amis, en particulaire Cathy et James. J’ai la nostalgie pour les moments à IAU avec les autres étudiants. Je regrette que je n’aie pas profité autant que possible au début du semestre. Je suis fière du travail que j’ai fait à l’école. Fatiguée de voyager toute la journée.
Depuis septembre quand je suis montée dans l’avion pour aller en France, j’ai voyagé beaucoup. J’avais été dans beaucoup d’avions. Donc maintenant, ça semble pareil. Mais ce n’est pas pareil. Après ce voyage, je vais rester en place et c’est un endroit que je connais très bien.
Comment-on décrire comment j’ai changée ? C’est presque impossible mais j’essaye.
Je crois que, sans doute, j’aie une meilleure compréhension de la langue française. En parlant, en écrivant, en livrant, en tous. Mais hors des prix scolaires, j’ai un meilleur sens de moi-même. Depuis l’été j’ai découvert ce dont j’ai besoin pour vivre en autonomie et cette expérience m’a enseigné plus.
Aix serai toujours une ville où j’habitais, où j’assistais à l’école, et où je faisais les choses que je ne ferai jamais encore. C’est une partie de moi et mon histoire. C’était doux-amer de partir parce que je quitte cet endroit où j’ai reçu et laissé des parties de mon esprit. Mais c’est nécessaire. Si je ne quittais pas, je ne grandirai pas. Il y a une citation qui le dire mieux, mais je ne peux pas l’en penser maintenant…
Donc, au revoir Aix. Et je veux dire au revoir parce que je retournerai ! Et je te revoir un jour. Je le sais.