Un jour et demi par semaine, je travaille à la librairie le Blason. Elle se trouve dans la rue Jacques de la Roque, prés de la cathédrale Saint Sauveur. Ma chef s’appelle Rita, et après un mois et demi là, nous sommes des bonnes amies. Normalement, on passe les journées en parlant, en regardant les clips des chansons français sur l’Internet, et en rencontrant les clients locales qui arrivent à la librairie. J’ai fait la connaissance de plusieurs des artistes, des auteurs, des musiciens, les amis de Rita, les personnes étranges, les personnes géniales, les personnes affreux….
Au début du stage, je m’inquiétais beaucoup, parce que quand je suis arrivée en France, j’étais confiante dans ma capacité de parler en français. Je l’étudiais depuis six ans, le programme de « French Honors » m’acceptait…Cependant, quand ma mère d’accueil me rencontrait au portail chez-nous, elle a commencé de parler très rapidement, et j’ai regardé fixement, les yeux vide comme un poisson. Elle m’a demandé, « parle-toi français ? » et je n’ai pas eu un choix sauf pour dire, malheureusement, « non. » Alors, deux ou trois semaines plus tard, je suis resté timide et craintive de parler français dans la plupart des situations.
Mon premier jour au Blason, mon opinion a changé ! Rita était trop gentille, parlant à moi avec toute la patience. Ce jour-là, il y avait un auteur qui est venu pour faire une dédicace, et après-midi nous avons partagé des apéritifs et de la fougasse pour célébrer. L’auteur, Pierre Mérendol, m’a donné mon premier roman en français. J’ai quitté le Blason, reconnaissant pour la chance de gagner un stage avec une femme tellement patiente et amusante.
Au début du stage, je m’inquiétais beaucoup, parce que quand je suis arrivée en France, j’étais confiante dans ma capacité de parler en français. Je l’étudiais depuis six ans, le programme de « French Honors » m’acceptait…Cependant, quand ma mère d’accueil me rencontrait au portail chez-nous, elle a commencé de parler très rapidement, et j’ai regardé fixement, les yeux vide comme un poisson. Elle m’a demandé, « parle-toi français ? » et je n’ai pas eu un choix sauf pour dire, malheureusement, « non. » Alors, deux ou trois semaines plus tard, je suis resté timide et craintive de parler français dans la plupart des situations.
Mon premier jour au Blason, mon opinion a changé ! Rita était trop gentille, parlant à moi avec toute la patience. Ce jour-là, il y avait un auteur qui est venu pour faire une dédicace, et après-midi nous avons partagé des apéritifs et de la fougasse pour célébrer. L’auteur, Pierre Mérendol, m’a donné mon premier roman en français. J’ai quitté le Blason, reconnaissant pour la chance de gagner un stage avec une femme tellement patiente et amusante.
Le Blason spécialise en vendre des livres qui viennent spécifiquement de Provence. La librairie a souvent les manifestations, avec les auteurs qui donnent les dédicaces en public.
Après avoir passé quelques temps là, j’ai appris la langue française vraiment bien. J’ai fait le progrès rapidement, et maintenant, bien que mon français certainement n’est pas parfait, je pense que je parle assez bien d’avoir des conversations avec les français. Je peux communiquer mes idées simples et complexes, et si je ne connais pas un mot ou une expression, je peux trouver une autre façon de le dire.
Pour le premier mois, il y avait un homme, qui nous appelons « Henri Fleur » (c’est pas son vrai nom) qui est arrivé un jour, au hasard. Il a discuté avec nous ses livres, et parce-que je suis d’une nature aimable et agréable, j’ai sourit souvent et j’ai apparaît d’avoir intérêt. Il a demandé les jours que je travaille là, pour retourner et me donner un de ses livres. Bien sûr, le vendredi suivant, il est retourné. Il m’a donné son numéro de téléphone, sous la guise de vouloir réfléchir une bonne dédicace.
Le mercredi suivant, il est retourné.
Le vendredi suivant, il est retourné.
Et ensuite, vous comprenez.
Enfin, Rita a commencé de m’envoyer de faire les courses pendant l’heure de son déjeuner. « Elle n’est pas là, » ou « elle est malade » ….
Un jour, après quelques semaines, il est retourné quand j’étais dans la librairie. Il m’a demandé si j’avait encore son numéro. « Uh, non, je pense que je l’ai perdu… »
Il m’a demandé d’avoir mon numéro de téléphone. « Je n’ai pas un téléphone français. »
« Pas de problème, tu peux me donner ton numéro américain. » « Mon téléphone américain reste encore aux Etats-Unis. » « D’accord. Donc, je t’invite de prendre une boisson au Cours Mirabeau pour discuter le livre. » « Je ne bois pas. » « Ok….mais on peut prendre un jus d’orange ou un Coca… » Finalement, je n’avais plus d’excuses. J’ai répondu, « Peut-être. «
Mais après cela, le vieux loup a arrêté de me visiter à la librairie. Une victoire !
Après avoir passé quelques temps là, j’ai appris la langue française vraiment bien. J’ai fait le progrès rapidement, et maintenant, bien que mon français certainement n’est pas parfait, je pense que je parle assez bien d’avoir des conversations avec les français. Je peux communiquer mes idées simples et complexes, et si je ne connais pas un mot ou une expression, je peux trouver une autre façon de le dire.
Pour le premier mois, il y avait un homme, qui nous appelons « Henri Fleur » (c’est pas son vrai nom) qui est arrivé un jour, au hasard. Il a discuté avec nous ses livres, et parce-que je suis d’une nature aimable et agréable, j’ai sourit souvent et j’ai apparaît d’avoir intérêt. Il a demandé les jours que je travaille là, pour retourner et me donner un de ses livres. Bien sûr, le vendredi suivant, il est retourné. Il m’a donné son numéro de téléphone, sous la guise de vouloir réfléchir une bonne dédicace.
Le mercredi suivant, il est retourné.
Le vendredi suivant, il est retourné.
Et ensuite, vous comprenez.
Enfin, Rita a commencé de m’envoyer de faire les courses pendant l’heure de son déjeuner. « Elle n’est pas là, » ou « elle est malade » ….
Un jour, après quelques semaines, il est retourné quand j’étais dans la librairie. Il m’a demandé si j’avait encore son numéro. « Uh, non, je pense que je l’ai perdu… »
Il m’a demandé d’avoir mon numéro de téléphone. « Je n’ai pas un téléphone français. »
« Pas de problème, tu peux me donner ton numéro américain. » « Mon téléphone américain reste encore aux Etats-Unis. » « D’accord. Donc, je t’invite de prendre une boisson au Cours Mirabeau pour discuter le livre. » « Je ne bois pas. » « Ok….mais on peut prendre un jus d’orange ou un Coca… » Finalement, je n’avais plus d’excuses. J’ai répondu, « Peut-être. «
Mais après cela, le vieux loup a arrêté de me visiter à la librairie. Une victoire !